L’été me ramène ma ville ensoleillée

La route me rappelle tant de coins où je rêvais

Allongé

Sur la plage ou sur l’herbe

Mon chapeau baissé sur les yeux

Au milieu

Des refrains heureux

Où quand on le veut

On embrasse une fille superbe

Un bar une gargote pour échanger nos refrains

En bas devant la porte les rendez-vous copain copain

Gauloises bleues

C’était le mot de passe

Dès que quelque chose criait

Cela suffit c’était la bagarre

Grand tintamarre

 Alors pauvres gens gare à la casse

Mais en ce temps-là si le rythme est fébrile

Le soir autour du feu de camp

Chacun son style      (bis)

Antibes toutes tes rues ont écorché mes pieds nus

Ville blue-jeans à cœur ouvert où la parole est toute crue

Ta musique

Est écrite dans mon âme

Comme un solfège de festival

Chaque année jazz mène le bal

Sonnez les cymbales

Au son d’une trompette qu’on acclame

Mais en ce temps-là si le rythme est fébrile

Le soir autour du feu de camp

Chacun son style      (bis)

(Paroles et Musique Yves ATLANI

Arrangements musicaux Stéphane SALERNO)